Prénom : Osträmuss
Nom : Porte-peste
Surnom : Seigneur des mouches
Âge : Inconnu
Faction : « Alliance »
Race : « Draenei »
Classe : Chevalier de la Mort.
Alignement et Éthique : Chaotique, Neutre.
Talents : Maîtrise martiale très poussée, art de propager de lourdes maladies et maitrise de la nécromancie.
Physique :
De longs cheveux blancs reliés en natte viennent tomber dans le creux de son dos.
Sa peau aussi bleue que les mers du Nord est en parfait accord avec un regard de givre, (signe distinctif des gens de son espèce) qui glace le sang de ceux qui osent s'y perdre.
Sa stature grande et imposante, recouverte d'une épaisse armure sombre portant les marques des chevaliers de la mort, inspire la méfiance et le respect au simple coup d'œil.
L'odeur putride qui se dégage de son corps ne laisse aucun doute quant à ses talents pour manier les maladies et la nécromancie, quelques mouches friandes de ce parfum accompagnent chacun de ses déplacements ce qui lui a valu le surnom de seigneur des mouches.
Une longue épée runique faisant les trois quarts de sa taille ne le quitte jamais et reste posté en bandoulière dans son dos prête à répandre son jugement au moindre signe de conflit.
Malgré de nombreuses batailles, il ne souffre d'aucune cicatrice visible à l'œil nue.
Mentalité :
Il a chassé ses rares doutes, ses rares envies ainsi que les rares échos d'une vie passée, l'ancien lui n'est plus et aujourd'hui il n'est pas un draenei, un humain, un orc où un elfe, il n'appartient ni à l'alliance, ni à la horde...
Aujourd'hui, il est Osträmuss Porte-peste, née chevalier de la mort, une âme corrompue ramené de force d'entre les morts, vidé de tous sentiments bienveillants tel que la compassion, l'amour...
Sa place en ce monde se trouve sur les champs de batailles et les plus sanglants seront les mieux.
On ne peut pas vraiment qualifier sa mentalité de bonne ou de mauvaise...
Ces deux notions lui sont inconnues, il ne cherche pas à tuer pour semer le chaos où pour servir une noble cause, Osträmuss tue parce qu'il ne sait rien faire d'autre, qu'importe la cause, qu'importe le camp, il fait ce qu'il fait, car il est ce qu'il est, une machine à tuer, une âme torturé qui se moque bien des conséquences de ses actes du moment qu'il peut laisser s'exprimer sa haine et sa profonde colère.
Il n'éprouve ni l'envie ni le besoin d'aller vers les autres, (si ce n'est pour enfoncer sa lame dans leurs flancs) cependant, il ne rejette pas les êtres qui viennent vers lui pour entamer la discussion et partager quelques cruches d'hydromel du moment que ceux-là comprennent qu'il est inutile d'attendre quelque chose de sa personne.
